Dépistage ITSS avec symptômes
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Les symptômes
La gonorrhée est une infection bactérienne qui se transmet lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus. Elle touche principalement les jeunes de 15 à 24 ans au Québec, et il est fréquent qu’une personne infectée par la gonorrhée le soit également par la chlamydia.
Elle peut provoquer divers symptômes, dont :
- Des écoulements inhabituels du pénis, de l’anus ou du vagin
- Des douleurs abdominales basses ou rectales
- La pharyngite ou des maux de gorge en cas de transmission orale-génitale
- Douleurs durant les rapports sexuels
- Sensation douloureuse à la miction (lorsque vous urinez)
Les conséquences potentielles de la gonorrhée incluent des difficultés de fertilité, des complications de grossesse et un risque augmenté de contracter ou de transmettre le VIH.
Le dépistage se fait par prélèvement d’urine, de la gorge ou par prélèvement vaginal, et un examen médical est requis en cas de symptômes. Le traitement, qui repose sur des antibiotiques, exige de s’abstenir de rapports sexuels durant cette période ou d’utiliser le condom. Informer ses partenaires en cas d’infection est essentiel pour prévenir sa propagation.
Vous présentez ces symptômes? Prenez rendez-vous
La chlamydia est une infection bactérienne qui se transmet lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, et elle touche principalement les jeunes de 15 à 24 ans. Fréquente au Québec comme ailleurs dans le monde, cette infection est souvent asymptomatique, ce qui en facilite la transmission sans que les personnes infectées en soient conscientes.
Lorsqu’elle cause des symptômes, ceux-ci peuvent inclure :
- Douleurs en urinant
- Écoulements anormaux du vagin, du pénis ou de l’anus
- Douleurs dans le bas du ventre
- Douleurs lors des rapports sexuels
Les complications de la chlamydia peuvent être graves et incluent des risques d’infertilité, des douleurs abdominales, des difficultés à concevoir et des complications durant la grossesse. Elle augmente également le risque de contracter ou de transmettre le VIH. Le dépistage est simple : un test d’urine est souvent suffisant en l’absence de symptômes, et un prélèvement au niveau de l’utérus ou de l’urètre est nécessaire en cas de symptômes.
Le traitement par antibiotiques permet de soigner la chlamydia, mais il est essentiel d’éviter les relations sexuelles ou de bien utiliser le condom durant la période de traitement pour éviter de la transmettre. Pour une protection efficace, l’utilisation du condom du début à la fin des rapports sexuels est primordiale, et en cas d’infection, il est important d’aviser ses partenaires pour qu’ils puissent également se faire dépister et traiter.
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Les hépatites B et C sont des inflammations du foie causées par un virus, principalement transmises par des contacts sanguins et, pour l’hépatite B, lors de relations sexuelles. L’hépatite B peut se transmettre durant des relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues, ou encore lors de tatouages ou perçages avec du matériel contaminé. L’hépatite C, quant à elle, se transmet surtout par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation et lors de pratiques de tatouage ou de perçage non sécurisées.
Pour l’hépatite B, les symptômes possibles sont :
- Fatigue
- Fièvre
- Douleurs au ventre
- Perte d’appétit
- Nausées, parfois accompagnées de vomissements
- Jaunisse, dans certains cas
Pour l’hépatite C, les symptômes possibles sont :
- Fatigue
- Perte d’appétit
- Maux de cœur ou douleurs abdominales
- Jaunisse dans certains cas
Ces deux infections peuvent avoir des conséquences graves pour la santé, comme le développement d’une cirrhose ou d’un cancer du foie.
Hépatite B : Souvent, le virus disparaît naturellement, et la personne devient immunisée. Toutefois, si le virus reste dans l’organisme, la personne en devient « porteuse » et peut transmettre l’infection toute sa vie.
Hépatite C : La majorité des personnes infectées deviennent porteuses du virus, même si dans certains cas, le virus peut disparaître de lui-même.
Le dépistage des hépatites B et C s’effectue par une prise de sang. Les traitements pour l’hépatite B visent à limiter l’infection et, dans certains cas, à guérir la personne. Pour l’hépatite C, un traitement est possible pour les porteurs chroniques et mène souvent à la guérison.
Protection : Le vaccin contre l’hépatite B (Engérix B) offre une protection, mais il n’existe aucun vaccin contre l’hépatite C. L’utilisation d’un condom est recommandée pour chaque relation sexuelle et pour tout contact impliquant le pénis, la bouche, le vagin ou l’anus. Pour réduire les risques de transmission par le sang, il est essentiel d’éviter le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues et, si une consommation se fait, d’utiliser uniquement du matériel neuf.
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L’herpès génital est une infection causée par le virus de l’herpès simplex de type 1 ou de type 2. Le type 1 se manifeste principalement autour de la bouche (feu sauvage), mais peut aussi affecter les organes génitaux. Quant au type 2, il apparaît surtout au niveau génital et rarement à la bouche. L’herpès génital de type 1 ou 2 se transmet par des relations sexuelles, avec ou sans pénétration, ou lors de contacts intimes (peau à peau) avec une personne infectée, qu’elle présente des lésions visibles ou non, rendant cette infection très contagieuse même en l’absence de symptômes.
L’herpès génital peut provoquer :
- De petits ulcères douloureux près des organes génitaux, de l’anus, des cuisses, des fesses et de l’intérieur du vagin
Les conséquences incluent la récurrence des ulcères tout au long de la vie, avec une intensité et une fréquence variant selon les individus. L’infection peut également augmenter le risque de contracter ou de transmettre le VIH.
Pour le dépistage, un test est réalisable uniquement en présence de lésions visibles. Ainsi, si vous présentez des symptômes similaires à ceux décrits, nous vous recommandons fortement de passer un dépistage rapidement afin de confirmer qu’il s’agit bien de l’herpès. Le prélèvement doit être effectué directement au niveau du liquide de l’ulcère pour obtenir des résultats fiables. en leur absence, le diagnostic n’est pas possible. Le dépistage par prise de sang est possible, mais ses résultats ne sont pas suffisamment précis pour être fiables, c’est pourquoi nous ne le recommandons pas.
Concernant le traitement, il n’existe pas de cure définitive pour l’herpès, mais des médicaments peuvent aider à :
- Soulager les symptômes
- Réduire la durée et la fréquence des poussées
- Diminuer le risque de transmission
Protection : L’utilisation systématique du condom lors des relations sexuelles est essentielle. Le condom doit être utilisé dès le début et jusqu’à la fin de la relation sexuelle pour tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus. Cependant, la transmission reste possible dans les zones non couvertes par le condom, comme les cuisses, les fesses et les testicules. Puisque l’herpès est incurable, il est important d’informer ses partenaires de l’infection, car la transmission peut se produire même sans lésion visible, malgré l’utilisation d’un condom.
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La syphilis est une infection bactérienne qui se transmet principalement lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, ou par contact direct avec une lésion lors d’un contact intime (peau à peau). Longtemps rare, la syphilis connaît une recrudescence au Québec depuis 10 ans, avec un risque de transmission plus élevé durant la première année suivant l’infection.
Les symptômes de la syphilis peuvent varier selon le stade de l’infection et sont souvent absents. Lorsqu’ils apparaissent, les symptômes incluent :
- Peu de temps après l’infection : ulcères non douloureux situés sur les organes génitaux, l’anus, la bouche ou la gorge. Ces ulcères disparaissent d’eux-mêmes en quelques semaines, mais l’infection persiste.
- À un stade avancé : symptômes pseudo-grippaux (fièvre, toux, maux de tête, douleurs, fatigue, nausées, vomissements) et l’apparition de rougeurs ou de boutons sur la paume des mains, la plante des pieds ou ailleurs sur le corps. Ces symptômes disparaissent également après quelques mois, mais l’infection reste présente.
Les conséquences de la syphilis non traitée peuvent être graves, avec des dommages au cœur, au cerveau, aux os et au foie, et un risque accru de contracter ou de transmettre le VIH.
Le dépistage se fait par une prise de sang.
Le traitement repose sur des antibiotiques, mais il est essentiel de s’abstenir de relations sexuelles jusqu’à confirmation de la guérison par des tests sanguins, ce qui peut prendre plusieurs mois. Si des relations sexuelles sont maintenues, l’utilisation du condom est nécessaire.
Protection : Quand vous pensez avoir contracté la syphilis. L’utilisation du condom est cruciale pour chaque relation sexuelle, et il doit être en place avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus et maintenu du début à la fin de l’acte. Pour minimiser les risques de transmission par le sang.
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Le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) s’attaque au système immunitaire, affaiblissant les défenses de l’organisme contre les infections et rendant le corps plus vulnérable aux maladies. Le VIH peut être transmis de quatre façons principales : lors de relations sexuelles avec pénétration (vaginale ou anale), par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues, lors de tatouages ou de perçages avec du matériel contaminé, et de la mère infectée à son enfant pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement. Le virus peut toucher tout le monde, indépendamment du sexe, de l’orientation sexuelle ou de l’origine ethnique, et aucun traitement ne permet de guérir complètement du VIH.
Les symptômes du VIH sont souvent absents dans un premier temps, mais s’ils apparaissent, ils peuvent inclure :
- Fièvre
- Fatigue
- Maux de tête ou de gorge
- Douleurs musculaires ou articulaires
- Ganglions enflés au cou, aux aisselles ou à l’aine
- Perte de poids importante
- Diarrhée
Les conséquences du VIH sur la santé sont graves : l’infection affaiblit le système immunitaire, rendant la personne vulnérable à des infections qui ne poseraient pas de risques pour des individus en bonne santé, comme la grippe, et augmentant le risque de complications graves, telles que des pneumonies ou certains types de cancers. En l’absence de traitement, le VIH peut évoluer vers le sida (syndrome d’immunodéficience acquise).
Pour le dépistage, un test sanguin est nécessaire. Bien qu’il n’existe aucun traitement curatif pour le VIH ou le sida, les médicaments actuels peuvent limiter les dommages causés par l’infection. Cette médication doit être prise à vie pour rester efficace, et un suivi médical rigoureux est indispensable pour toute personne vivant avec le VIH.
Protection : Lors de chaque relation sexuelle, l’utilisation d’un condom est essentielle pour réduire le risque de transmission, et il doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus, et ce, du début à la fin de l’acte. Pour éviter la transmission par le sang, il est conseillé de ne pas s’injecter ou inhaler de drogues, ou d’utiliser uniquement du matériel neuf si tel est le cas. Toute personne infectée par le VIH doit informer ses partenaires pour qu’ils puissent également se faire dépister et, le cas échéant, recevoir un traitement.
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Le virus du papillome humain (VPH) est une infection virale très répandue, souvent transmise lors de relations sexuelles, avec ou sans pénétration, ou par contact intime (peau à peau) avec une personne infectée, qu’elle présente des lésions visibles ou non. Particulièrement fréquente chez les jeunes de 15 à 24 ans, cette infection se transmet facilement dans les premières années de l’activité sexuelle, ce qui en fait l’une des infections transmissibles sexuellement (ITS) les plus fréquentes au Québec.
Lorsqu’ils apparaissent, les symptômes peuvent inclure :
- Petites bosses ressemblant à des verrues (condylomes) sur les organes génitaux, autour de l’anus et, plus rarement, dans la bouche
- Irritation et démangeaisons
- Lésions non visibles à l’œil nu, qui peuvent se développer au col de l’utérus
Certaines de ces lésions peuvent devenir cancéreuses si elles ne sont pas détectées et traitées à temps.
Pour le dépistage, il n’existe pas de test pour détecter le VPH en l’absence de lésions apparentes. Si des lésions sont visibles, un examen médical permet de diagnostiquer l’infection. Quant aux lésions précancéreuses ou cancéreuses au niveau du col de l’utérus, elles peuvent être détectées par PAP TEST lors d’un examen gynécologique, ce qui permet de prévenir le développement de cancers.
Concernant le traitement, la plupart des lésions ou condylomes causés par le VPH disparaissent naturellement en environ 18 mois, mais cela ne signifie pas que l’infection est guérie. Pour éliminer les condylomes, plusieurs options sont disponibles, comme l’application de produits chimiques, les traitements au laser ou à l’azote liquide. Des traitements existent aussi pour empêcher l’évolution vers un cancer.
Protection : Le vaccin contre le VPH protège contre certains types du VPH, bien qu’il ne protège pas contre les autres ITSS. L’utilisation du condom est aussi recommandée pour chaque relation sexuelle, avec une mise en place avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus, et il doit être utilisé du début à la fin de l’acte. Cependant, la transmission peut rester possible dans les zones non couvertes par le condom, comme les cuisses, les fesses et les testicules. Comme les symptômes peuvent mettre du temps à apparaître, il est essentiel pour les jeunes femmes de réaliser régulièrement un PAP TEST, selon les recommandations de L’INSPQ (l’institue nationale de la santé publique), pour dépister toute anomalie éventuelle.
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La trichomonase est une infection parasitaire courante qui se transmet principalement lors de rapports sexuels non protégés avec une personne infectée. Bien qu’elle puisse toucher tout le monde, elle est particulièrement fréquente chez les personnes sexuellement actives.
Les symptômes de la trichomonase peuvent inclure :
- Démangeaisons et irritations dans la région génitale
- Pertes vaginales inhabituelles, souvent jaunâtres ou verdâtres, chez les femmes
- Sensation de brûlure ou inconfort lors de la miction (lorsque que vous urinez)
Toutefois, de nombreuses personnes infectées ne présentent aucun symptôme, ce qui rend la détection difficile sans dépistage. Chez les femmes, l’infection peut affecter le vagin et, dans certains cas, entraîner des complications si elle n’est pas traitée.
Pour le dépistage: Le diagnostic de la trichomonase se fait généralement par un test de laboratoire à partir d’un prélèvement vaginal ou urétral.
Concernant le traitement, la trichomonase est une infection curable avec un traitement antibiotique adapté, généralement administré sous forme de comprimés. Le traitement permet d’éliminer le parasite, mais il est essentiel que les partenaires soient traités simultanément pour éviter les réinfections.
Protection : L’utilisation du condom est recommandée pour réduire le risque de transmission de la trichomonase lors des rapports sexuels. Comme les symptômes peuvent parfois tarder à apparaître, il est conseillé de faire un dépistage régulier, en particulier pour les personnes ayant plusieurs partenaires.
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Les symptômes
La gonorrhée est une infection bactérienne qui se transmet lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus. Elle touche principalement les jeunes de 15 à 24 ans au Québec, et il est fréquent qu’une personne infectée par la gonorrhée le soit également par la chlamydia.
Elle peut provoquer divers symptômes, dont :
- Des écoulements inhabituels du pénis, de l’anus ou du vagin
- Des douleurs abdominales basses ou rectales
- La pharyngite ou des maux de gorge en cas de transmission orale-génitale
- Douleurs durant les rapports sexuels
- Sensation douloureuse à la miction (lorsque vous urinez)
Les conséquences potentielles de la gonorrhée incluent des difficultés de fertilité, des complications de grossesse et un risque augmenté de contracter ou de transmettre le VIH.
Le dépistage se fait par prélèvement d’urine, de la gorge ou par prélèvement vaginal, et un examen médical est requis en cas de symptômes. Le traitement, qui repose sur des antibiotiques, exige de s’abstenir de rapports sexuels durant cette période ou d’utiliser le condom. Informer ses partenaires en cas d’infection est essentiel pour prévenir sa propagation.
Rendez-vous
La chlamydia est une infection bactérienne qui se transmet lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, et elle touche principalement les jeunes de 15 à 24 ans. Fréquente au Québec comme ailleurs dans le monde, cette infection est souvent asymptomatique, ce qui en facilite la transmission sans que les personnes infectées en soient conscientes.
Lorsqu’elle cause des symptômes, ceux-ci peuvent inclure :
- Douleurs en urinant
- Écoulements anormaux du vagin, du pénis ou de l’anus
- Douleurs dans le bas du ventre
- Douleurs lors des rapports sexuels
Les complications de la chlamydia peuvent être graves et incluent des risques d’infertilité, des douleurs abdominales, des difficultés à concevoir et des complications durant la grossesse. Elle augmente également le risque de contracter ou de transmettre le VIH. Le dépistage est simple : un test d’urine est souvent suffisant en l’absence de symptômes, et un prélèvement au niveau de l’utérus ou de l’urètre est nécessaire en cas de symptômes.
Le traitement par antibiotiques permet de soigner la chlamydia, mais il est essentiel d’éviter les relations sexuelles ou de bien utiliser le condom durant la période de traitement pour éviter de la transmettre. Pour une protection efficace, l’utilisation du condom du début à la fin des rapports sexuels est primordiale, et en cas d’infection, il est important d’aviser ses partenaires pour qu’ils puissent également se faire dépister et traiter.
Rendez-vous
Les hépatites B et C sont des inflammations du foie causées par un virus, principalement transmises par des contacts sanguins et, pour l’hépatite B, lors de relations sexuelles. L’hépatite B peut se transmettre durant des relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues, ou encore lors de tatouages ou perçages avec du matériel contaminé. L’hépatite C, quant à elle, se transmet surtout par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation et lors de pratiques de tatouage ou de perçage non sécurisées.
Pour l’hépatite B, les symptômes possibles sont :
- Fatigue
- Fièvre
- Douleurs au ventre
- Perte d’appétit
- Nausées, parfois accompagnées de vomissements
- Jaunisse, dans certains cas
Pour l’hépatite C, les symptômes possibles sont :
- Fatigue
- Perte d’appétit
- Maux de cœur ou douleurs abdominales
- Jaunisse dans certains cas
Ces deux infections peuvent avoir des conséquences graves pour la santé, comme le développement d’une cirrhose ou d’un cancer du foie.
Hépatite B : Souvent, le virus disparaît naturellement, et la personne devient immunisée. Toutefois, si le virus reste dans l’organisme, la personne en devient « porteuse » et peut transmettre l’infection toute sa vie.
Hépatite C : La majorité des personnes infectées deviennent porteuses du virus, même si dans certains cas, le virus peut disparaître de lui-même.
Le dépistage des hépatites B et C s’effectue par une prise de sang. Les traitements pour l’hépatite B visent à limiter l’infection et, dans certains cas, à guérir la personne. Pour l’hépatite C, un traitement est possible pour les porteurs chroniques et mène souvent à la guérison.
Protection : Le vaccin contre l’hépatite B (Engérix B) offre une protection, mais il n’existe aucun vaccin contre l’hépatite C. L’utilisation d’un condom est recommandée pour chaque relation sexuelle et pour tout contact impliquant le pénis, la bouche, le vagin ou l’anus. Pour réduire les risques de transmission par le sang, il est essentiel d’éviter le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues et, si une consommation se fait, d’utiliser uniquement du matériel neuf.
Rendez-vous
L’herpès génital est une infection causée par le virus de l’herpès simplex de type 1 ou de type 2. Le type 1 se manifeste principalement autour de la bouche (feu sauvage), mais peut aussi affecter les organes génitaux. Quant au type 2, il apparaît surtout au niveau génital et rarement à la bouche. L’herpès génital de type 1 ou 2 se transmet par des relations sexuelles, avec ou sans pénétration, ou lors de contacts intimes (peau à peau) avec une personne infectée, qu’elle présente des lésions visibles ou non, rendant cette infection très contagieuse même en l’absence de symptômes.
L’herpès génital peut provoquer :
- De petits ulcères douloureux près des organes génitaux, de l’anus, des cuisses, des fesses et de l’intérieur du vagin
Les conséquences incluent la récurrence des ulcères tout au long de la vie, avec une intensité et une fréquence variant selon les individus. L’infection peut également augmenter le risque de contracter ou de transmettre le VIH.
Pour le dépistage, un test est réalisable uniquement en présence de lésions visibles. Ainsi, si vous présentez des symptômes similaires à ceux décrits, nous vous recommandons fortement de passer un dépistage rapidement afin de confirmer qu’il s’agit bien de l’herpès. Le prélèvement doit être effectué directement au niveau du liquide de l’ulcère pour obtenir des résultats fiables. en leur absence, le diagnostic n’est pas possible. Le dépistage par prise de sang est possible, mais ses résultats ne sont pas suffisamment précis pour être fiables, c’est pourquoi nous ne le recommandons pas.
Concernant le traitement, il n’existe pas de cure définitive pour l’herpès, mais des médicaments peuvent aider à :
- Soulager les symptômes
- Réduire la durée et la fréquence des poussées
- Diminuer le risque de transmission
Protection : L’utilisation systématique du condom lors des relations sexuelles est essentielle. Le condom doit être utilisé dès le début et jusqu’à la fin de la relation sexuelle pour tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus. Cependant, la transmission reste possible dans les zones non couvertes par le condom, comme les cuisses, les fesses et les testicules. Puisque l’herpès est incurable, il est important d’informer ses partenaires de l’infection, car la transmission peut se produire même sans lésion visible, malgré l’utilisation d’un condom.
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La syphilis est une infection bactérienne qui se transmet principalement lors de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la bouche, le vagin ou l’anus, ou par contact direct avec une lésion lors d’un contact intime (peau à peau). Longtemps rare, la syphilis connaît une recrudescence au Québec depuis 10 ans, avec un risque de transmission plus élevé durant la première année suivant l’infection.
Les symptômes de la syphilis peuvent varier selon le stade de l’infection et sont souvent absents. Lorsqu’ils apparaissent, les symptômes incluent :
- Peu de temps après l’infection : ulcères non douloureux situés sur les organes génitaux, l’anus, la bouche ou la gorge. Ces ulcères disparaissent d’eux-mêmes en quelques semaines, mais l’infection persiste.
- À un stade avancé : symptômes pseudo-grippaux (fièvre, toux, maux de tête, douleurs, fatigue, nausées, vomissements) et l’apparition de rougeurs ou de boutons sur la paume des mains, la plante des pieds ou ailleurs sur le corps. Ces symptômes disparaissent également après quelques mois, mais l’infection reste présente.
Les conséquences de la syphilis non traitée peuvent être graves, avec des dommages au cœur, au cerveau, aux os et au foie, et un risque accru de contracter ou de transmettre le VIH.
Le dépistage se fait par une prise de sang.
Le traitement repose sur des antibiotiques, mais il est essentiel de s’abstenir de relations sexuelles jusqu’à confirmation de la guérison par des tests sanguins, ce qui peut prendre plusieurs mois. Si des relations sexuelles sont maintenues, l’utilisation du condom est nécessaire.
Protection : Quand vous pensez avoir contracté la syphilis. L’utilisation du condom est cruciale pour chaque relation sexuelle, et il doit être en place avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus et maintenu du début à la fin de l’acte. Pour minimiser les risques de transmission par le sang.
Rendez-vous
Le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) s’attaque au système immunitaire, affaiblissant les défenses de l’organisme contre les infections et rendant le corps plus vulnérable aux maladies. Le VIH peut être transmis de quatre façons principales : lors de relations sexuelles avec pénétration (vaginale ou anale), par le partage de matériel d’injection ou d’inhalation de drogues, lors de tatouages ou de perçages avec du matériel contaminé, et de la mère infectée à son enfant pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement. Le virus peut toucher tout le monde, indépendamment du sexe, de l’orientation sexuelle ou de l’origine ethnique, et aucun traitement ne permet de guérir complètement du VIH.
Les symptômes du VIH sont souvent absents dans un premier temps, mais s’ils apparaissent, ils peuvent inclure :
- Fièvre
- Fatigue
- Maux de tête ou de gorge
- Douleurs musculaires ou articulaires
- Ganglions enflés au cou, aux aisselles ou à l’aine
- Perte de poids importante
- Diarrhée
Les conséquences du VIH sur la santé sont graves : l’infection affaiblit le système immunitaire, rendant la personne vulnérable à des infections qui ne poseraient pas de risques pour des individus en bonne santé, comme la grippe, et augmentant le risque de complications graves, telles que des pneumonies ou certains types de cancers. En l’absence de traitement, le VIH peut évoluer vers le sida (syndrome d’immunodéficience acquise).
Pour le dépistage, un test sanguin est nécessaire. Bien qu’il n’existe aucun traitement curatif pour le VIH ou le sida, les médicaments actuels peuvent limiter les dommages causés par l’infection. Cette médication doit être prise à vie pour rester efficace, et un suivi médical rigoureux est indispensable pour toute personne vivant avec le VIH.
Protection : Lors de chaque relation sexuelle, l’utilisation d’un condom est essentielle pour réduire le risque de transmission, et il doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus, et ce, du début à la fin de l’acte. Pour éviter la transmission par le sang, il est conseillé de ne pas s’injecter ou inhaler de drogues, ou d’utiliser uniquement du matériel neuf si tel est le cas. Toute personne infectée par le VIH doit informer ses partenaires pour qu’ils puissent également se faire dépister et, le cas échéant, recevoir un traitement.
Rendez-vous
Le virus du papillome humain (VPH) est une infection virale très répandue, souvent transmise lors de relations sexuelles, avec ou sans pénétration, ou par contact intime (peau à peau) avec une personne infectée, qu’elle présente des lésions visibles ou non. Particulièrement fréquente chez les jeunes de 15 à 24 ans, cette infection se transmet facilement dans les premières années de l’activité sexuelle, ce qui en fait l’une des infections transmissibles sexuellement (ITS) les plus fréquentes au Québec.
Lorsqu’ils apparaissent, les symptômes peuvent inclure :
- Petites bosses ressemblant à des verrues (condylomes) sur les organes génitaux, autour de l’anus et, plus rarement, dans la bouche
- Irritation et démangeaisons
- Lésions non visibles à l’œil nu, qui peuvent se développer au col de l’utérus
Certaines de ces lésions peuvent devenir cancéreuses si elles ne sont pas détectées et traitées à temps.
Pour le dépistage, il n’existe pas de test pour détecter le VPH en l’absence de lésions apparentes. Si des lésions sont visibles, un examen médical permet de diagnostiquer l’infection. Quant aux lésions précancéreuses ou cancéreuses au niveau du col de l’utérus, elles peuvent être détectées par PAP TEST lors d’un examen gynécologique, ce qui permet de prévenir le développement de cancers.
Concernant le traitement, la plupart des lésions ou condylomes causés par le VPH disparaissent naturellement en environ 18 mois, mais cela ne signifie pas que l’infection est guérie. Pour éliminer les condylomes, plusieurs options sont disponibles, comme l’application de produits chimiques, les traitements au laser ou à l’azote liquide. Des traitements existent aussi pour empêcher l’évolution vers un cancer.
Protection : Le vaccin contre le VPH protège contre certains types du VPH, bien qu’il ne protège pas contre les autres ITSS. L’utilisation du condom est aussi recommandée pour chaque relation sexuelle, avec une mise en place avant tout contact du pénis avec la bouche, le vagin ou l’anus, et il doit être utilisé du début à la fin de l’acte. Cependant, la transmission peut rester possible dans les zones non couvertes par le condom, comme les cuisses, les fesses et les testicules. Comme les symptômes peuvent mettre du temps à apparaître, il est essentiel pour les jeunes femmes de réaliser régulièrement un PAP TEST, selon les recommandations de L’INSPQ (l’institue nationale de la santé publique), pour dépister toute anomalie éventuelle.
Rendez-vous
Forfait standard
199$* non taxable
- Chlamydia
- Gonorrhée
- Possibilité de dépistage anonyme
- Consultation et prélèvement inclus
- Reçu pour assurance
- Résultat en 24h**
- Suivi & accompagnement
Forfait complet
289$* non taxable
- Chlamydia
- Gonorrhée
- VIH
- Syphilis
- Hépatite B
- Possibilité de dépistage anonyme
- Consultation et prélèvement inclus
- Reçu pour assurance
- Résultat en 24h**
- Suivi & accompagnement
Forfait herpès
329$* non taxable
- Herpès
- Possibilité de dépistage anonyme
- Consultation et prélèvement inclus
- Reçu pour assurance
- Suivi & accompagnement
*Les prix indiqués se basent sur des prélèvements effectués à un seul site. Des frais supplémentaires (69$) peuvent s’appliquer pour des prélèvements anaux ou pharyngés, selon votre situation.
**Veuillez noter que le délai pour obtenir les résultats peut varier selon l’heure et le jour de votre rendez-vous.
DÉPISTAGE ITSS SYMPTOMATIQUE
Vous pouvez avoir pleinement confiance en nos professionnels de la santé qui vous accompagneront dans cette démarche en toute confidentialité. Si vous présentez des symptômes, nous procéderont à votre évaluation complète, vous proposerons les tests appropriés ainsi que les traitements adaptés à votre situation spécifique. De plus, vous pouvez être assuré de recevoir les résultats dans un délai très rapide et de manière confidentielle. Suite à la réception des résultats, nous pouvons vous prescrire un traitement en fonction de l’infection et assurer le suivi nécessaire. Nous mettons beaucoup d’effort à adopter une approche informative, douce et sans jugement, ce qui est grandement apprécié par nos patients.
DÉPISTAGE ITSS SYMPTOMATIQUE
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sera infectée par l’herpès génital au cours de sa vie
des femmes auront une infection vaginale au moins
une fois dans leur vie
estimation du nombre de personnes atteintes du VIH
en 2008 au Québec
Herpès
Un test de détection est possible seulement lorsqu’il y a des lésions apparentes.
S’il n’y a pas de lésions, il n’est pas possible de poser un diagnostic.
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